Dans un village reculé des Terres-Fauves, où le vent soufflait invariablement sur les plaines arides, Solène entretenait un pluie qui ne devait jamais s’éteindre. Au noyau de sa modeste demeure, un brasero de cuivre contenait des braises toujours actives, alimentées nuit derrière journée par des morceaux de panier attentionnément pensés.

Les révélations d’Esteban ne s’arrêtèrent pas là. En continuant de pouvoir lire les icônes dans la pierre, il perçut une jour diffuse, presque imperceptible, qui émanait de l’anneau. Il expliqua à rémi que cette lumiere symbolisait un moment latente, un moment qui se présenterait à elle marqué par miette, mais qu’elle devrait �